« Au cours des deux dernières séances de kung-fu, nous avons évoqué les moines de Shaolin, dans la province du Henan, en Chine.  Pour obtenir les enseignements d’un maître, il faut faire ses preuves et exprimer une forte détermination pour devenir moine. On nous a raconté l’histoire d’un homme qui est allé jusqu’à se couper le bras pour entrer au temple de Shaolin. On nous a appris que les moines de Shaolin ne pratiquaient pas seulement des arts martiaux mais aussi, entre autres, la médecine ».

François-Xavier et Axelle

Petton Gwendal

« Avant dernière séance : On a vu pourquoi les moines ne portaient qu’une seule manche. Un homme est venu se présenter à un moine pour qu’il lui enseigne son art, le kung-fu. Ce dernier refusa et lui demanda de revenir en été. L’été suivant, l’homme se présenta à nouveau au moine qui lui dit de revenir en hiver. L’hiver venu, l’homme rendit visite au moine et ce dernier lui dit de revenir lorsque la neige sera rouge. L’homme, très motivé, décida de se couper le bras et de laisser son sang se rependre sur la neige. Le moine l’accepta alors comme apprenti puisqu’il avait réussi à prouver sa volonté à apprendre l’art du kung-fu.

Dernière séance : On a révisé nos premiers enchaînements et vu les mouvements d’auto défense : les clés de bras, les coups de pieds… ».

 Assia KARROUB et Clémence RICHEBOEUF

« Le troisième cours,  nous avons appris un nouvel enchaînement, dans lequel nous devions parer et faire une suite de mouvements en rapport avec le yin et le yang. Cela était très gracieux et beaucoup appréciable à réaliser.

Dans le 4^ème et dernier cours, nous avons appris une clé de bras réalisable lors d’une potentielle agression. Nous avons réalisé à travers la pratique de ces enchaînements que la question de la précision dans les mouvements est capitale.  Chaque partie du corps doit respecter un angle précis pour trouver son appui, sa stabilité et sa précision. Nous nous sommes beaucoup battus les uns contre les autres et, comme le maître nous l’a bien enseigné, dans le respect de son adversaire.

Au cours de cette séance, Nassim nous a contés une anecdote. Elle raconte l’histoire d’un moine qui, déterminé à obtenir les enseignements d’un maître en arts martiaux, s’est coupé le bras gauche pour répondre aux exigences de son futur maître qui étaient de colorer la neige en rouge. Lorsqu’il fit ce sacrifice, le maitre reconnu sa détermination et accepta de lui enseigner le kung-fu. C’est pour cela qu’aujourd’hui, en Chine, le bras gauche des moines ne comporte pas de manche ».

Lamandé—Leroux Tess

Hazard Joseph

Petton Gwendal