Lycée Jules Verne

Lycée général – Nantes

Loire Atlantique
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Pour rendre le confinement plus agréable, quelques idées pour s’évader, lire, écouter, tout en continuant à s’instruire, évidemment.

A la découverte des Romains

Comment vivaient les Romains ? À quoi pouvait ressembler leur environnement ? Étaient-ils si différents de nous ? En 12 épisodes, la série Pompéi nous amène à la découverte du mode de vie des Romains et comprendre la vie quotidienne de ses habitants, leur religion, ce qu’ils mangeaient ou encore quels objets ils utilisaient.

Les Bâtisseurs de Fontevraud

Tailleurs de pierre, architectes, charpentiers, etc. Rencontrez ces hommes qui ont fait et font toujours l’Abbaye Royale de Fontevraud, joyau patrimonial de la région des Pays de la Loire. D’autres propositions culturelles sont à découvrir sur le site de notre région.

 

Des classiques de la littérature comme vous ne les avez jamais entendus

C’est le pari fait par les liseuses : proposer des « remix de grands textes littéraires » comme l’odyssée, Gargantua, madame Bovary ou encore le misanthrope. Des oeuvres transposées en fictions sonores, lues par des comédiens et mises en musique. Ces capsules audio, d’une durée d’environ vingt minutes chacune, sont accessibles en libre écoute sur toutes les plateformes de streaming (deezer, spotify, qobuz, apple music, etc).

De 6 à 16 ans et plus…

Tintin ou Astérix en version sonore, des contes, des fictions en musique, des histoires pour s’endormir, d’autres pour la journée. De quoi s’échapper avec joie grâce à l’imaginaire… Découvrez ou redécouvrez des auteurs et des titres cultes sur le site de France culture.

« Le petit train s’en va dans la campagne, va et vient poursuit son chemin… »

Célèbre chanson des Rita Mitsouko, le petit train, sous son air enjoué, évoque la déportation vers les camps nazis durant la seconde guerre mondiale. Catherine Ringer  a voulu rappeler l’histoire de son père, le peintre Sam Ringer, déporté dans plusieurs camps, notamment Buchenwald et Theriensienstadt où il sera libéré par les russes en 1945.

Dans un entretien filmé, tiré de la série « Portraits d’artistes » (Musée d’Art et d’Histoire du Judaïsme), Catherine Ringer, a d’ailleurs ouvert les portes de son atelier. Elle y conserve précieusement la plupart des œuvres de son père.